La culture jusqu’au XIXe siècle
L’agriculture et les produits qui en sont dérivés constituaient l’activité économique principale dès les premiers moments de l’origine de la ville. En effet, le paysage actuel est le résultat de siècles de travail manuel dans les différentes tâches agricoles.
Jusqu’au XIXe siècle, les principales cultures cultivées dans la municipalité étaient les céréales, car elles profitaient des zones plates ; et, dans une moindre mesure, les vignes, les oliviers et les cultures irriguées. Les moulins à farine, situés près de la rivière, étaient également abondants dans la région. Les améliorations introduites dans la culture des cultures au cours du XVIIIe siècle ont progressivement transformé le paysage agraire et les cultures céréalières ont peu à peu laissé place aux vignobles pour la production de vin. L’utilisation de la force animale, avec des mulets remplaçant les bœufs, a permis de mieux labourer la terre et d’accélérer le travail dans les champs. Au milieu du XIXe siècle, la plantation de vignes revêtait une importance primordiale.